En 1987, un pensionnat fit la une de la presse, pendants près d’un mois. C’était un lycée pour garçons, où l’on voyait souvent des visages tristes, ou bien des sourires forcés. Souvent, on se demandait pourquoi, mais il s’en restait là. Un jour, un homme d’une richesse extraordinaire s’intéressa de plus près à ce pensionnat. Pourquoi ? Et bien, à vrai dire, il avait une fille qui en rentrant de son école avait vu plusieurs garçons ayant des traces de coups. Elle avait tout de suite averti son père, qui est contre la violence. Il inscrivit alors son fils dans le pensionnat tout en lui expliquant ce qu’il devait faire. Dès son premier jour de cours, le fils expliqua à son père lors d’une lettre que les professeurs, le directeur et autres membres de l’équipe du pensionnat n’hésitaient pas à abuser des élèves, de les frapper, et même de les écorcher. Le sang était dans tous les recoins, sur les murs,… Alors, le monsieur lui demanda de faire des photos. C’est ce qu’il fit. Le monsieur envoya alors ces photos à la police. Celle-ci ferma l’école. Ensuite, l’établissement ferma et on en n’entendit plus jamais parler. Deux ans plus tard, le « sauveur » du lycée refit son apparition. Et…Il ré-ouvrit le pensionnat.


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Depuis ce jour, le sauveur, as une statue dans le parc de l’école, érigée le 18 mars 1998, entourée de magnifiques cerisiers,. Il mourut deux ans après. Avant sa mort, il précisa que pour lui succéder, il voulait que ce soit sont fils qui avait du souffrir pour débusquer les professeurs. Celui-ci établi plusieurs nouvelles lois dans l’établissement. La première chose, est que le pensionnat est mixte. Même les chambres. Oui, il ne craint pas les viols, il leur fait confiance. Et il sait qu’après tout, les « jeunes » d’aujourd’hui sont comme même assez fiable, là-dessus. Les professeurs sont parfois presque aussi jeunes que les plus grands du pensionnat. Il n’y a pas d’uniformes. Les cours ne se donnent que quelques fois par semaine. Les cours sont accessible pour tous ; autant pour les intellos qu’aux yankee. Le lycée était devenu le lycée le plus libre d’Osaka.